De retour du Kérala (bis!)
Bhujangasana, le cobra: la posture anti-peur 🐍
Bien chère yogini, bien cher yogi,
Me voici de retour du Kérala et prête pour vous! Voulez-vous un petit feed back?
Pour vous rafraîhir la mémoire, mon voyage avait pour objectif de trouver un nouveau centre Ayurvédique pour 2027.
Je suis donc partie avec ma liste de critères en tête en regard de l’expérience (très réussie) vécue aux centres Madukkakuzhy.
En 2027, nous resterons 14 jours, la durée minimum pour pouvoir expérimenter le Panchakarma (si on le souhaite), la technique de purification et de réjuvénation du corps et de l’esprit. Pour cela, je recherche un environnement à proximité de la mer, à partir duquel nous pourrons rayonner (visites, shopping) sur notre temps libre, selon les envies et la bonne forme physique, car les traitements induisent des temps de repos salutaires.
Mon voyage ne s’est pas déroulé comme prévu 🫢
Je m’étais imaginé, un peu naïvement, que le centre Ayurvédique où j’allais séjourner, en bord de mer, serait le bon. Et bien non! Le deuxième jour ma décision était prise: ce ne sera pas celui-là. Et pourquoi? Pour deux raisons principales: le standing des cottages est inférieur à celui des centres Madukkakuzhy. Je savais que la comparaison serait négative. La deuxième raison: le buffet! La nourriture était bonne, diversifiée, avec des plats réservés pour chaque dosha et des plats communs aux 3 doshas. Mais alors? Hélas, les principes généraux d’alimentation ayurvédique n’étaient pas respectés. Et les thermos d’eau chaude absents. Voici quelques principes de base appliqués aux centres Madukkakhuzy: un petit déjeuner tiède/chaud, pas de crudités ni de dessert le soir, un dîner plus léger que le déjeuner, pas de boisons cafféinées, des thermos d’eau chaude (et à température ambiante) à disposition. Un soir des brownies ont été servis pour le dessert! Et on les a retrouvés le lendemain matin pour le petit déjeuner. Je ne voyais pas comment expliquer cela aux personnes qui me suivent aux centres Madukkakuzhy et qui ont reçu de ce fait une “éducation Ayurvédique”. Naturellement, on peut toujours “passer devant”, mais ce manque d’alignement m’a dérangée. Ne vous méprenez pas! Je ne suis pas une intégriste 😅. Je suis gourmande et j’aime me régaler. Simplement, quand on va en Inde (c’est quand même loin et dépaysant), pour suivre une cure Ayurvédique destinée à nous débarrasser de nos toxines et nous mettre sur la voie d’un mode de vie plus sain, le moins que l’on puisse espérer c’est d’être guidé dans les règles de l’art. D’accord ou pas d’accord?
Je ne vous cache pas que cela m’a un peu déstabilisée. Je me suis demandée si “je ne lavais pas plus blanc que blanc”. Sur place, il y avait un groupe de 22 slovaques. Ils étaient venus avec le responsable d’un centre Ayurvédique à Bratislava. Sa traductrice m’a dit qu’ils avaient fait un brief en début de séjour aux membres du groupe sur les grandes lignes de l’Ayurvéda et de l’alimentation. C’est une possibilité. Toutefois je ne me sens pas légitime pour le faire, car tout simplement je ne suis pas thérapeute ayurvédique. J’ai rencontré également Julia, une enseignante de yoga de Nouvelle Zélande venue avec un groupe de 9 élèves. Elles sont restées 7 jours pour “l’expérience ayurvédique” au cours d’un séjour de deux semaines. Les attentes de Julia n’étaient pas les mêmes que les miennes.
Il ne me restait plus qu’une solution: prospecter. J’ai donc visité 7 centres Ayurvédiques alentour. Bref j’ai bossé! C’était dur 😅
J’ai touché du doigt le tourisme ayurvédique
Il ne fallait pas que je me laisse tourner la tête par les magnifiques endroits, plage privée etc. Tout cela, pourquoi pas, mais il manquait à l’appel quelques fondamentaux que j’avais bien en tête, grâce à l’expérience dans les centres Madukkakuzhy.
Je vous la fais courte comme on dit. J’ai sélectionné 3 endroits (mon Utthita Trikonasana ne me lâche pas!😅). J’en ai définitivement éliminé un, malgré le fait que ce soit un très bel endroit, car j’ai perçu l’aspect commercial. J’en garde un en réserve. Il répond à tous mes critères d’authenticité. Il est assez grand, les cottages et hébergements sont récents. Les traitements quotidiens sont de 3 heures pouvant aller jusqu’à 4. Je me suis dit que c’était vraiment beaucoup et peut-être un saut à faire pour un peu plus tard. J’en ai retenu un, authentique et traditionnel, à 1,5 km de la mer et des boutiques, intimiste avec 15 chambres et une promesse de privatisation si nous sommes un groupe de 15 participants en 2027. J’ai été séduite par le “yoga hall” ouvert avec sa vue mer. Je ne poste ici aucune photo. Ce sera pour plus tard, après notre retour du voyage 2026!
Mon projet, si aucun obstacle ne se met en travers de mon chemin, est d’y aller à la fin de l’été 2026 afin d’expérimenter le Panchakarma et de tester sur moi les séances de yoga les plus appropriées tout au long du processus. Quand je vous disais que je lave plus blanc que blanc! 😅
Une immense gratitude
Pendant mon séjour au Kérala j’ai ressenti une immense gratitude. D’ailleurs j’étais sous la protection de Shiva car mon cottage était très proche du temple de Shiva (réveil avec les chants à 5H30!). Ci-dessous un bout de l’imposante statue de Shiva devant mon cottage:
Voici en entier l’imposante statue de Shiva au coucher de soleil:
La gratitude est un sentiment doux et enveloppant, générateur d’une sensation de bien-être global. Ce n’est pas pour rien que certaines méditations ont pour objet la gratitude. Je rejoins BKS Iyengar car il estimait que la méditation est induite. Selon lui, il ne faut pas rechercher l’état méditatif. Pour lui, Dhyana, la méditation, est un “produit dérivé” (expression de Prashant) de la pratique (Dhyana = asana et asana = Dhyana). Il a même dit « je « suis » l’asana, tellement toutes les cellules de son corps étaient impliquées dans la posture pour atteindre un état d’intégration.
Au Kerala, au cœur de la cure Ayurvedique, ce sentiment de gratitude à émergé spontanément, certainement impulsé par le contexte exceptionnel et toute la douceur et bienveillance dont on fait l’objet, sans réserve. Toutes mes cellules disaient merci! 🙏. Merci pour ce chemin qui m’a conduite vers l’Ayurvéda: un stage d’été sur les éléments m’a naturellement amenée aux Dosha (constitutions ayurvédiques). Je me suis retrouvée aux portes de l’Ayurvéda avec l’envie impérieuse de partager mes découvertes au travers d’un voyage annuel. Je me sens “en chemin” et sur le bon. Je n’en reviens toujours pas d’avoir appris, par hasard, que Geeta Iyengar était Vaidya, docteur en Ayurvéda. Sri.T Krishnamacharya, beau-frère et Guru de B.K.S Iyengar était un érudit et aussi docteur en Ayurvéda. On ne peut nier les aspects thérapeutiques du yoga Iyengar®, même si ce n’est pas sa vocation première, c’est juste un fait. Alors, je vous avoue ne pas comprendre pourquoi l’Ayurvéda n’est pas davantage évoqué et ni mis en lumière dans notre système de yoga.
Si vous faites un micro trottoir, vous constaterez que l’Ayurvéda reste confidentiel. C’est aussi pour cela que je ressens cette immense gratitude. J’aurais pu passer à côté! Ou bien j’aurais pu décider de vivre l’expérience solo. En vérité, je souhaite pour chacun et chacune d’entre vous, ce que je souhaiterais pour ma meilleure amie, pour autant qu’elle soit réceptive. Je vais vous faire rire: mes amies ne le sontpas! 😅 Heureusement que je vous ai! 🙏
J’ai une anecdote!
Lors d’une de mes visites de centres Ayurévdiques (un des 7), la personne qui me fait visiter me prévient qu’il y a un “yoga hall” qui peut être privatisé pour un groupe de yoga, sachant qu’il y en a un autre pour les autres curistes. Je demande à le voir et là, je tombe en arrêt: je vois une pratiquante en Sirsasana, je reconnais les shorts, des couvertures blanches (moins épaisses que nos couvertures de déménagement), des ceintures, des briques….Une pratiquante enfile ses chaussures et s’apprête à sortir. Je ne peux m’empêcher de lui demander: “Is this Iyengar Yoga?”, elle me répond “yes”. Je poursuis “Where do you come from?” : “France!” Je m’exclame: “incroyable, qui est votre enseignant?” Je n’ai jamais obtenu la réponse. Elle m’a “rembarrée” (excusez moi pour ce terme familier), me disant “ils vont entrer en Savasana”, me faisant des gestes vifs de négation. Et elle est partie, me laissant piquée dans ma curiosité, car j’aurais vraiment aimé savoir qui est cette enseignant-e de yoga Iyengar qui partage la même passion que moi. Frustrée, je n’ai pu m’empêcher de penser que c’était bien peu sympathique. Je me suis sentie “mise à la porte”, même si je comprends que le moment était certainement mal choisi.
Vous vous demandez certainement pour quelles raisons je n’ai pas retenu ce centre Ayurvédique, beau, avec un accès direct à la mer, et un “yoga hall” que l’on peut privatiser. J’ai fonctionné au feeling et laissé mes ressentis me guider. Tout d’abord, il y avait beaucoup trop d’escaliers. Les heureux élus des cottages proches et vue mer devaient en payer le prix, au sens propre comme au figuré: pour rejoindre le restaurant, les salles de traitements etc. il fallait faire une sacrée grimpette. Je me suis dit qu’il ne ferait pas bon oublier quelque chose dans sa chambre. Trop fatigant (remettons cela dans un contexte de chaleur et de soins ayurvédiques). C’est aussi un grand centre, j’ai ressenti un effet de tassement, comme si tous les mètres carrés disponibles avaient été occupés par des cottages de 6 catégories différentes (toutes ces catégories ça m’a fatiguée aussi). Je me suis sentie étouffée. Pourtant, il entre dans la catégorie “Ayurvéda de luxe” avec des installations superbes. Enfin, pour le “yoga hall” j’avais envie d’un effet Wahouh comme nous avons avons avec la vue sur le lac aux centres Madukkakuzhy. Ce n’était pas le cas car il n’y avait aucune vue. Bref, il ne m’a pas plu.
J’ai adoré recueillir des success stories ✨
Je m’aperçois que je m’étale dans mon récit alors je vous en ai sélectionné une.
Il s’agit d’une Allemande, Ingrid, atteinte d’une maladie auto-immune grave avec des énormes ganglions dans le cou (je n’ai pas le nom scientifique de cette maladie auto-immune). Aucun traitement ne pouvait la soulager de ses symptômes. Son mari m’a confirmé qu’il y a quinze ans, Ingrid était très malade. C’est alors qu’elle a commencé sa première cure Ayurvédique au Kérala. Son mari, pas du tout intéressé, ne l’a pas accompagnée. Quand elle est revenue, il a été interpellé par sa transformation. Depuis lors, il l’accompagne tous les ans. Il y a trois ans, les analyses d’Ingrid indiquaient qu’il n’y avait plus de trace de maladie auto-immune. Entre temps, elle a étudié l’Ayurvéda, elle vient d’avoir son diplôme. Elle n’exerce pas, car son métier est très prenant par ailleurs. Cela lui permet de parfaitement décoder les traitements et leurs effets sur elle.
J’ai aussi demandé à son mari quels ont été les bienfaits pour lui. Très simple: en quinze ans il a perdu 20 kg (il était en surpoids) et changé son alimentation et façon de s’alimenter. Son hypertension artérielle a disparu. Il ne prend plus aucun médicament pour la réguler.
Je vous relate les choses telles que Ingrid et son mari me les ont racontées, avec sincérité. C’est leur histoire et leur expérience. Il ne faut en tirer aucune généralité.
Peut-être est-ce e moment pour vous d’embarquer vers un voyage Ayurvédique
J’ai une bonne nouvelle pour vous. Vous pouvez encore vous inscrire pour le voyage en avril 2026. Par précaution, j’ai demandé deux chambres supplémentaires en réserve. Il y a eu un désistement pour raison familiale et je crois qu’une personne qui a pré-réservé n’a pas encore validé son inscription. Alors, c’est une chance pour vous.
Si l’Inde vous inquiète, je vous rassure. le Kérala est un cocon sécuritaire magnifique en végétation luxuriante. Et l’introduction à l’Auyurvéda se fait en douceur, de manière personnalisée, autour de vos priorités (douleurs, stress, difficultés digestives etc.).
Découvrez le programme:
Voici le formulaire de pré-inscription:
Une pause ressourcement vous attend, avec, pour le retour, une boîte à outils pour prolonger les effets bénéfiques de la cure en ancrant de nouvelles habitudes, plus saines, avec “moins de” et “plus de” . Si vous souhaitez être accompagné-e d’une personne non yogi ou débutante dans un autre yoga, il n’y a pas de souci. Les séances sont adaptées et je m’adapte au groupe. Et puis, il n’y a rien d’obligatoire.
Personnellement, la gratitude ressentie pendant mon séjour est toujours présente mais elle a aussi laissé la place à de la nostalgie (même si je suis naturellement heureuse d’être rentrée 💗). C’est pourquoi je pense qu’il n’y a pas plus beau cadeau à s’offrir (ou à se faire offrir 😉). Naturellement, il faut être réceptif comme je vous le disais. Mais si vous me lisez, je sais que vous me prêtez une oreille attentive.
Je réalise aussi que “remettre à plus tard” est une option que j’éviterai de choisir désormais (sauf empêchements majeurs, il faut rester raisonnable). A peine rentrée, je viens d’apprendre qu’un de mes amis proches et de longue date est tombé. Fracture du crâne. Réanimation. Inopérable. Le cerveau noyé dans le sang. Deux options: il se réveille avec des séquelles dont on ignore l’importance, ou bien il nous quitte. Il a été admis dans le même hopital à Nice que maman en 2023. Même période. Même scénario. Il est un peu plus jeune que moi. Inutile de vous dire que j’ai le cœur très lourd. Tout cela me fait prendre conscience, comme on le sait tous, que tout peu basculer du jour au lendemain. Nos choix peuvent sembler égoîstes mais en réalité ils ne le sont pas. D’une manière ou d’une autre, ce que nous avons appris, compris, ressenti et ce que nous devenons continue à rayonner tout autour de nous. Pour autant que ce chemin nous appelle évidemment.
La posture du jour: Bhujangasana 🐍
Puisque ma rentrée (un peu honteuse) se fait la 3ème semaine du mois, j’ai directement embrayé sur une posture de la famille des extensions arrières.
Bhujang: serpent
Bhuj: se plier ou se courber.
Bhujangâsana signifie donc la posture du serpent qui se courbe.
Bhujangasana, le cobra, est une posture faussement aisée. Moi-même, je n’ai jamais bien poussé jusqu’à la phase 2 de la posture, telle qu’instruite par B.K.S Iyengar.
Voici la première étape qu’il décrit:
Vous voyez que la colonne verébrale est verticale (ce qui est déjà pas mal!) et le regard est de face.
Voici la phase finale, et là c’est une autre histoire. Le poids du corps repose sur les mains et sur les jambes. Vous voyez que les bras sont tendus. N’imaginez pas que les mains ont été déplacées en avant. Cela se pratique parfois, pour une version plus détente ou “restaurative”. Non, c’est la colonne vertébrale en extension arrière qui donne cette impression de mains en avant. Et vous voyez que la tête suit le mouvement de la colonne vertébrale, comme si l’arrière de la tête allait venir toucher le coccyx. C’est d’ailleurs l’image que l’on doit visualiser pour lâcher prise sur cette tête, pour autant que le mouvement d’arc de la colonne vertébrale soit bien marqué.
Dans la phase d’apprentissage, nous passons par le demi-bhujangasana: on lève juste la poitrine, et on soulève les mains pour renforcer les muscles spinaux. Cela fait aussi relativiser la force musculaire que l’on doit placer dans les bras. Certains pensent que tout est dans les bras pour redresser le buste. En fait, non. Les muscles spinaux doivent jouer leur rôle.
Les erreurs les plus communes 🚫
Ne cédez pas à une erreur commune qui consiste à tendre les bras (sauf si vous avez des bras courts et un long buste 😅), ce qui a pour effet indésirable de soulever le pubis et de faire monter les épaules (donc les épaules restent basses, le pubis collé au sol et les bras semi pliés dans la première étape). C’est ainsi qu’on se retrouve à passer du cobra aux épaules de gorille 😅. Une autre erreur fréquente consiste à écarter les coudes au lieu de les garder près du corps. Et c’est ainsi que du cobra on se retrouve à faire la danse des canards 😅
Dans sa version classique Bhujangasana est une posture dense et compacte. Je dirais que c’est une posture élément terre eu égard à cette densité. Les pieds sont joints et les jambes sont tendues, au sens activées, les orteils allongés. L’erreur des jambes molles est à proscrire car cela se répercute immédiatement sur le bas du dos. Les personnes qui ont des difficultés à plaquer les coups de pieds au sol souffriront plus facilement du syndrome des jambes légères avec une tendance à transformer le cobra en sauterelle (Salabhasana). En cas de grand creux qui rend impossible la pression des coups de pieds, on peut glisser une couverture roulée afin de retrouver la pression.
La protection de la zone du bas du dos repose sur un léger mulabandha qui crée un gainage interne des tissus mous (ce n’est donc pas qu’une question d’os). Cette aspiration de la zone du périnée aide à l’élévation plus légère du buste. Il faut donc éviter de trop “serrer et contracter” ce qui aboutit souvent à transformer les fessiers en noix de coco (dures et rebondies) 😅. Par ricochet, ce ressèrement forcé de la base se répercute souvent sur la gorge et les yeux pour aboutir à une respiration bloquée. Cet aspect est plus subtil et requiert de l’entraînement.
Les bienfaits de Bhujangasana
En premier lieu, cette posture est très bénéfique pour le bas du dos. B.K.S Iyengar annonce même qu’elle peut remettre en place des déplacements de disques vertébraux. Elle est “la panacée pour les colonnes vertébrales en mauvais état”.
La cage thoracique est à la fois étirée et grande ouverte ce qui est efficace pour combattre l’asthme et autres problématiques respiratoires.
Bhujangasana tonifie également les organes abdominaux et les reins.
Bhujangasana aide à renforcer la confiance en soi. Comme vous le savez, face au danger, 3 attitudes sont possibles: la fuite, le combat (on fait face), ou bien on se tétanise, on reste figé sur place. Bhujangasana est l’archetype d’une posture mentale: face à l’adversité on se redresse, on ne recule pas, on fait face. Le serpent ne connaît pas la peur. C’est pourquoi Bhujangasana se révèle une excellente posture pour lutter contre nos peurs, les peurs enfouies du passé ou présentes. Cette posture contribue à développer notre force mentale pour dépasser nos peurs et aller de l’avant. D’ailleurs, le serpent, dans la nature, nous fait peur. Et Bhujangasana, sur le tapis, fait aussi souvent peur (peur de se faire mal dans le bas du dos). En pratiquant cette posture avec les bons points clés, on se donne les moyens de dépasser ses peurs pour “passer de l’autre côté”, là où on ne ressent plus que les effets bénéfiques de la posture.
On se retrouve ce soir à 18H30 😊 ⬇️
Une séance de reprise. Venez! Même pas peur! 😂
Vous pouvez aussi passer par le site internet :
Il est également possible de télécharger l’application Bsport :
Le 1er stage du dimanche à Mouans Sartoux aura lieu le 19 octobre de 9H30 à 12H30
Je vous donne à nouveau les dates des stages pour l’année
30 novembre
11 janvier
8 février
15 mars
10 mai
14 juin
Pour prendre de l’avance voici le lien du stage du 30 novembre:
J’ai fait un pacte avec moi même: réduire mes newsletters en nombre de mots (et certainement en temps pour moi). Cette fois-ci c’est raté. Mais j’ai la bonne excuse du retour du Kérala (et encore je me suis restreinte!). Je ferai mieux (j’espère) avec les suivantes.
Si mes écrits vous inspirent, merci de partager!
Amicalement
Namasté
Isabelle








