Bien chère yogini, bien cher yogi,
Bonjour! Et bienvenue à vous si vous nous rejoignez.
Bonne nouvelle! Je commençais la semaine dernière avec une information concernant le voyage au Kérala du 5 au 21 avril 2025, autour d’une cure Ayurvédique, suite à deux désistements. Notre groupe est désormais complet avec 21 participants!
Je commence aujourd’hui par un sujet cher à mon cœur. Ce dimanche, avec les stagiaires en formation Uniyoga nous sommes revenus sur la notion de “concept” yogique. Ils ont un peu de mal à appréhender ce qu’est un concept en yoga. C’est bien normal, car le sujet est rarement exprimé et posé en tant que tel.
Les concepts yogiques
Personnellement je suis une visuelle et une conceptuelle. Mes études de droit m’ont peut-être un peu formatée à raisonner en principes généraux fondamentaux qui se déclinent ensuite en de nombreuses applications concrètes. Ce principe initial est comme un phare dans la nuit, une bouée de sauvetage au milieu de l’océan, un moyen de ne jamais se perdre. Croyez moi, en yoga, sur un rectangle de 180X60 cm, on peut se perdre complètement! 😂
Si vous pensez qu’un concept est théorique, c’est tout le contraire! En tant que principe universel, il vous aide à pratiquer avec plus de conscience et de présence. Les effets des asana en seront plus profonds.
Vous savez que dans le livre Yoga Enchanté Santé et Ayurvéda, j’ai listé des concepts essentiels. Mais il y en a d’autres! Si vous n’avez pas encore ce livre entre les mains, ou sur votre table de chevet 😉, profitez en ICI
J’ouvre une parenthèse. Mon changement de plateforme de réservation (je vous en ai parlé la semaine dernière suite à l’annonce assez brutale de Fitogram d’arrêt du service au 31 décembre), va certainement m’amener à fermer la boutique en ligne Shopify car les coûts fixes mensuels ne sont pas couverts par les commandes. Je recherche (avec mon cher Nicolas), une plateforme de réservation “all in one” qui me permettrait quand même de vous proposer la possibilité de commander des exemplaires restants en stock. Toute commande d’ici le 15 décembre sera la bienvenue car la bascule vers la nouvelle plateforme (choix d’ici demain) est prévue à la mi-décembre. Pensez aux petits cadeaux de Noël si ces caractéristiques vous attirent: attentionné, original, artisanal, en édition limitée, éclairant.
Si vous optez pour la collection ou la mini collection, profitez des offres spéciales
L’ennui avec les livres édités, c’est qu’il n’est pas possible de compléter. Considérez donc ces newsletters comme des addendum.
Le concept du Vinyasa
Voilà qui doit vous surprendre. En quoi le Vinyasa est-il un concept?
Le terme vinyasa est bien connu en tant que style de pratique
Il s’agit d’enchaîner des postures en mode flow, sans interruption, avec la synchronisation du mouvement et du souffle. Il existe des Vinyasa lents et des Vinyasa dynamiques. Le plus souvent, le terme Vinyasa sous-entend une forme dynamique de pratique.
Aujourd’hui, cette pratique est très populaire, notamment auprès des jeunes générations. Le Vinyasa est dérivé du yoga Ashtanga, dynamique et codifié autour d’une même séquence de postures. Le Vinyasa séduit par sa diversité et la créativité qui peut s’installer autour de séquences diversifiées. En principe, il n’y a pas de focus sur l’alignement postural, ce n’est pas le sujet. C’est du “all in one”: le mouvement + le souffle => un état mental modifié qui s’installe pendant la séance.
Quel lien entre Vinyasa et le yoga Iyengar?
Il s’agit d’un lien historique.
B.K.S Iyengar, explique que son Guru, Tirumalai Krishnamacharya, enseignait les postures enchaînées avec des sauts. Pour atteindre la posture finale, il fallait commencer par Tadasana ( la montagne) et après la posture finale, il fallait reprendre les étapes vers Tadasana. Il cite par exemple Halasana (la charrue), en posture cible (notre posture reine 😉). Il fallait commencer par Tadasana, puis Uttanasana dos concave - Uttanasana la posture complète - Uttanasana dos concave - Chaturanga Dandasana - Adho Mukha Svanasana - Urdhva Mukha Svanasana - Adho Mukha Svanasana - Lolasana- Halasana- Chaturanga Dandasana - Urdhva Mukha Svanasana - Adho Mukha Svanasana - Uttanasana dos concave - Et Tadasana. Ceci formait la posture complète. A cet époque, l’enseignement de Tirumalai Krishnamacharya portait uniquement sur l’aspect physique du yoga. Pourtant, c’était un grand philosophe. Savez-vous pourquoi il a développé des classes thérapeutiques? Parce que ces sauts et enchaînements étaient très difficiles pour les élèves. L’Ashtanga Yoga de Pattabhi Jois est issu de cet enseignement originel de T Krishnamacharya .
C’est toujours bien, n’est-ce pas de comprendre d’où nous venons.
Derrière ce lien historique, il faut retenir:
l’existence d’une posture cible ou posture finale (ou posture reine dans notre jargon moderne)
l’enrobage de cette posture cible, précédée et suivie d’autres postures
En quoi le yoga Iyengar® est-il un Vinyasa?
Ma question doit vous sembler incongrue, car vu de l’extérieur, le yoga Iyengar®, avec l’emphase sur la précision dans l’exécution des postures, semble, à première vue, l’antithèse du flow ininterrompu. Certes, pendant les cours, les interruptions sont “obligatoires”, surtout dans les cours par niveau, pour démonter et expliquer, afin de faire progresser les élèves. Alors?
Chaque posture s’exécute en mode Vinyasa car nous portons une grande attention à l’entrée et à la sortie de la posture.
Je prends par exemple Utthita Trikonasana (le triangle):
nous commençons par Tadasana, notre posture de référence qui relie toutes les postures debout
nous sautons (si pas de contre indication) en Utthita Hasta Padasana sur l’expiration
puis on tourne la jambe avant en Parsva Hasta Padasana
puis en descend en Utthita Trikonasana
et le retour: inspiration pour remonter en Parsva Hasta Padasana puis pieds parallèles en Utthita Hasta Padasana et saut sur expiration en Tadasana.
Vous voyez bien que notre posture cible, Utthita Trikonasana, est enrobée elle aussi de postures intermédiaires en mode aller et retour, dont la bonne exécution conditionne la justesse de la posture.
Hélas, beaucoup de pratiquants se jettent dans la posture finale en occultant la préparation et le retour, ignorant que ce sont également des postures.
Je prends l’autre exemple de Uttanasana (la pince debout):
Tadasana
Urdhva Hastasana (les bras levés)
Uttanasana dos concave pour étirer les bords de buste et le devant du corps
Uttanasana la posture finale (certes on reste dedans en principe pour en recevoir les bienfaits)
Uttanasana dos concave ou Urdhava Hastasana puis Tadasana.
Chaque étape produit (ou vise à produire) un effet particulier qui se répercutera sur l’étape suivante jusqu’à la posture finale.
A noter que ce mode opératoire en Vinyasa aide à l’apprentissage de la posture mais qu’il est possible également selon les circonstances et le niveau de pratique d’entrer directement en Uttanasana à partir de Tadasana, ou même d’une autre posture comme Adho Mukha Svanasana.
Chaque posture est donc considérée comme une suite de postures exécutées avec le souffle, reposant sur le triptyque: entrée maintien et sortie.
Le rôle de la posture de référence
Le retour dans la posture de base (Tadasana pour les postures debout et Dandasana pour les postures assises) sert de lien entre les postures. En outre, elle permet de:
revenir à l’état neutre (physique et respiration)
de percevoir les effets de la posture précédente car chaque posture crée une transformation, une empreinte qui viendra impacter la posture suivante
Ainsi depuis la première posture jusqu’au Savasana final, la séquence doit être considérée comme un Vinyasa, un enchaînement fluide libéré de mouvements parasites, même si on garde certaines postures pour notre plus grand bien.
L’importance de connaître les noms des postures en sanskrit
Lorsque la posture suivante est annoncée, le mental s’ajuste immédiatement et se met en route pour accompagner la prise de posture. Si vous ignorez de quelle posture il s’agit, il y a interruption, moment de flottement, d’hésitation qui vient perturber le flow qui doit être aussi bien physique que mental. Il y a donc rupture de fluidité.
A Pune, connaître le nom des postures en sanskrit fait partie de l’autonomie et de l’apprentissage d’une posture à part entière. Trouvez vous logique de pratiquer une posture pendant des années sans savoir comment elle s’appelle? Certes dans d’autres styles de yoga on se contente des noms en français. Sauf que, d’une méthode à l’autre, une même posture peut porter des noms différents. Je vous ai déjà expliqué également que le nom en sanskrit est porteur de sens ce qui guide la bonne réalisation des postures. A Pune, connaître le nom des postures conditionne le passage dans une classe de niveau supérieur.
Je sais que je me répète, mais j’ai toutes les bonnes raisons pour insister 😉
La décomposition des postures
Outre les postures d’entrée ou de sortie qui encadrent la posture visée, un grand nombre de postures peuvent se décomposer en:
“ardha” (en demi)
posture intermédiaire et posture complète
en cycle: certaines postures comme les postures assises se déclinent en Parvatasana, Parsva, Supta, Adho Mukha
Par conséquent, la majorité des postures sont porteuses de leur propre évolution.
La posture cible
C’est différent de la posture reine. L’enseignant doit savoir qu’une posture porte en elle les prémices d’une posture beaucoup plus avancée, même si elle n’est pas exécutée en cours (et ne le sera peut-être jamais dans certains cours pour certains élèves).
Cette mise en perspective transforme la pratique de yoga en un énorme Vinyasa qui dépasse les frontières limitées du cours.
Prenons l’exemple de Hanumanasa (le grand écart) posture cible
Parsvottanasana avec l’écart des jambes en ciseau
Virabhadrasana 1 pour l’ouverture du bassin, la verticalité du buste et les bras levés en Urdhva namaskara, paumes de mains jointes
Urdhva Namaskara seul en Tadasana est un petit bout de Hanumanasana
Ce concept de Vinyasa m’est très cher car je vois qu’il est difficile à appliquer, surtout pour des débutants qui manquent de coordination et d’aisance dans la manipulation des supports notamment. Ce qui est normal.
Cette fluidité est à acquérir et chérir autant que l’exécution des postures en elle-même. C’est une prise de conscience, un état d’esprit, une forme de concentration du début à la fin du cours.
Hélas, certains en revenant en Tadasana en profitent pour ajuster leur vêtement, se mettre les mains dans les cheveux, s’agiter. C’est rompre la grâce du yoga (de mon point de vue). C’est pourquoi on demande d’ajuster le T-shirt dans le short ou le legging, d’attacher ses cheveux au besoin, pour éviter ces perturbations que l’on peut éviter. Bien souvent, ce sont des gestes automatiques ou réflexes, qui nous démontrent que nous sommes un peu sous emprise (à l’image des Vrittis, les pensées automatiques qui viennent encombrer notre mental). En supprimant ces prétextes pour bouger nous restons à nu. Il n’y a plus que nous. Et la magie du yoga opère.
Comprenez vous ce que je veux dire?
Le Vinyasa dans le maintien de la posture
Là vous pensez peut-être que je suis tombée sur la tête! Je vous explique. On a dit que Vinyasa = mouvement + souffle = évolution sans interruption. Qui a dit que le mouvement devait être grossier et visible à l’œil nu? Et qui a dit que l’arrêt était une interruption dans laquelle il ne se passe rien?
Lorsqu’on reste dans une posture, c’est là que tout commence. Le jeu avec le souffle, les micro ajustements, la mise en œuvre de tout ce que l’on sait devoir faire (et que l’on n’a pas pu complètement mettre en place), la gestion des inconforts, le recours à la volonté lorsqu’on a une envie impérieuse de sortir de la posture, l’émerveillement devant la transformation qui s’opère, les “check points” de tensions que l’on doit repasser en boucle etc.
Alors, de mon point de vue, il ne faut surtout pas assimiler le maintien de la posture à un arrêt statique, figé. Bien au contraire, c’est mieux qu’un film en Technicolor! 😄
Etes vous d’accord sur cette conception du Vinyasa?
J’espère que mes explications changeront votre regard sur votre pratique ou sur votre enseignement si cette approche est nouvelle pour vous. Vous me direz.
Et vous avez tout à fait le droit de ne pas être d’accord, vous me direz aussi! 😉
Le concept de l’empreinte
Même si je souhaitais me limiter aujourd’hui à UN concept, je ne résiste pas à évoquer le concept de l’empreinte, qui m’est aussi très précieux. Je vous l’ai d’ailleurs cité plus haut.
En résumé, chaque posture laisse une empreinte qui imprègnera la posture suivante et ainsi de suite. Et il y a bien une suite car ces empreintes restent imprégnées dans le corps.
L’empreinte est différente de la réponse (un autre concept que je détaillerai plus tard, il faut que je me calme! 😂). La réponse c’est comme la douche yogique que vous percevez dès que vous retournez au camp de base (Tadasana ou Dandasana pour ne citez que ces postures). Cette réponse est la réaction physique, physiologique, mentale et émotionnelle perçue en instantané au retour d’une posture. Cela “occupe” également ce temps d’arrêt (vu de l’extérieur).
L’empreinte peut se résumer en un état, une ouverture que l’on crée et qui se répercute ensuite pour donner une nouvelle dimension et aisance à la posture suivante ou autres postures dans le cours.
Nous expérimenterons ces deux concepts Vinyasa et empreinte autour de la posture de ce soir.
Supta Virasana
C’est une “supta” donc une “supine” une posture couchée, donc une posture dite restaurative.
Il faut déjà apprivoiser Virasana, la posture assise du héro.
Je l’ai choisie pour aujourd’hui parce que Supta Virasana s’accorde merveilleusement avec les extensions arrières, elle crée beaucoup d’empreintes, je vous en cite quelques unes:
bas du dos long (c’est devenu un mantra 😊)
étirement des quadriceps
ouverture des plis des aines avec un effet vidange si important pour la circulation lymphatique
J’ajoute aujourd’hui un nouveau concept jamais utilisé selon moi dans Supta Virasana mais qui change tout (selon moi): le concept du dos large. Certes il s’agit d’une posture en longueur, surtout lorsque vous étirez les bras derrière la tête. Cette longueur est indispensable pour étirer le devant du corps et les bords de buste, ainsi que les fibres des quadriceps. MAIS! La vertu récupératrice ou apaisement repose dans l’horizontalité, avec, notamment, un haut du dos large. Nous la ferons donc un peu différemment sur le plan des supports (comme lundi et mardi matin). Dans les extensions arrière, même si les omoplates sont fixées dans le dos, nous devons garder cet espace intérieur dans le haut du dos (et dans le bas du dos naturellement). Sinon on amplifie exagérément l’ouverture de poitrine (ce qui est l’objectif prioritaire) en créant une forme de déséquilibre (très ouvert devant et fermé derrière) qui nuit, selon moi, à l’apaisement que nous devons expérimenter dans toutes les postures. Et puis, reportez vous à la posture de base, Virasana de dos: quel beau dos large! Ce serait tellement dommage de perdre cette empreinte! 😉
Et puis, dans la vie, nous devons avoir le dos fort et large pour endosser (pourquoi dit-on toujours “faire face”? 🙃) certains évènements sur notre chemin. Le yoga nous y prépare. Préparons nous.
Supta Virasana sera accompagnée de quelques extensions arrière :
Dhanurasana (l’arc)
Ustrasana (le chameau)
Urdhva Mukha Svanasana (le chien tête en haut)
Je traduis pour mes lecteurs qui ne connaissent pas (encore 😉) leurs noms de postures.
Supta Virasana laissera une empreinte forte
En Sirsasana et Salamba Sarvangasana. Vos inversées seront sublimées. Tout du moins cela devrait.
J’ai mal aux genoux, comment faire?
En Virasana, il faudra déjà mettre beaucoup de hauteur pour alléger la pression des genoux. Il ne faut jamais avoir mal aux genoux. Mal aux cuisses, OK! Cela signifie que vous devrez également mettre beaucoup plus de supports sous le dos en Supta Virasana puisque vous partez déjà très hors sol au niveau des fessiers.
Mais le principe à retenir est qu’il faut étirer les jambes et principalement l’arrière des jambes AVANT et APRES la posture.
Les exercices qui étirent les quadriceps et l’arrière des jambes (comme dans Dandasana) seront très bénéfiques avec l’ouverture (largeur) et l’étirement (longueur) de l’arrière des genoux. Il faudra aussi observer les 4 coins de vos genoux, le carré des genoux afin de vérifier que vos genoux sont bien face au plafond. Si les genoux ne sont pas au carré, cela est le prélude au mal de genoux. La position du mollet peut également affecter vos genoux.
Retenez qu’avant de plier les genoux, il faut apprendre à ne surtout pas les plier!
Je précise que si vous portez un pantalon large, je ne pourrai pas voir vos genoux. Ce serait trop dommage!
J’ai mal aux chevilles, que faire?
Souvent, même sans avoir mal, il y a un grand espace sous les chevilles: l’ancrage est perdu. Il est possible de glisser des coins de couverture dans le creux, ou un autre support.
Le principe à retenir est que vos chevilles doivent être en contact, idéalement avec le sol, sinon, avec un support.
Mes genoux se soulèvent en Supta Virasana: que faire?
Deux possibilités: la plus classique consiste à augmenter les supports sous le dos pour faire descendre les genoux au sol. C’est intéressant mais le bénéfice de l’ouverture des plis des aines se perd. L’autre option consiste à glisser un bolster ou couverture sous les genoux pour tenter de conserver l’alignement genoux, bassin.
Et mon dos oulala!
Je vous joins ici une version très allégée de Supta Virasana par David Meloni
Elle réconcilie et traite à peu près tous les points de douleur possibles dans Supta Virasana. Je la retiens car elle conserve la structure de la posture classique avec l’alignement genou, hanches et épaules. Elle préserve aussi l’effet récupération de la posture.
Ce sera votre set up (installation) si vous ne parvenez pas à vous accommoder de la version au sol avec supports.
Supta Virasana est en outre une posture digestive que l’on peut faire après un repas. Elle aide en cas d’indigestion.
On se retrouve ce soir pour expérimenter à 18H30 ⬇️
Venez expérimenter le repos du héros!
Pour le cours en ligne:
vous recevrez un mail de Fitogram 15 minutes avant la séance: vérifiez vos SPAMS
Mot de passe : holiways06
Si vous avez un empêchement je vous envoie le replay
Si vous êtes abonné-e à l'application "le yoga enchanté" la séance est mise en ligne dès le lendemain
J’ai mis à jour le planning jusqu’au 20 décembre. Pensez à réserver vos cours!
Il n’y a pas cours samedi car je serai à Paris pour fêter les 4 ans de ma petite fille Gabrielle. En vérité, son anniversaire c’était hier, le 20 novembre. Elle se concentre pour faire un vœu
Le prochain stage à Mouans Sartoux dimanche 1er décembre de 9H30 à 12H30 est complet avec 16 participants et 3 inscrits en liste d’attente. Vous pouvez toutefois tenter votre chance en liste d’attente.
Ouvrez le bal en 2025 avec le stage du dimanche 26 janvier à Mouans Sartoux de 9H30 à 12H30
Anticipez en vous inscrivant pour le suivant le dimanche 2 mars à Mouans Sartoux de 9H30 à 12H30
Merci pour votre fidélité. 🙏
Je me réjouis de vous retrouver sur le tapis
Namasté
Isabelle
PS: Pensez à adhérer à l’AFYI, l’Association Française de Yoga Iyengar, il n’est pas trop tard!